Le peroxyde d’hydrogène: un moyen efficace de lutte contre le Covid-19

LA DENATURATION DU SARS COV 2, virus du COVID19

Par jacques bruno Ndjankeu

Chercheur privé DIRECTEUR GENERAL DE (THERMOMECANIC ENERGY CAMEROON)

La Chine a vaincu le COVID19 par une méthodologie qui reste secrète jusqu’à nos jours ; une étude scientifique minutieuse accompagnée d’un espionnage industriel m’a conduit sur une piste qui me permet aujourd’hui de proposer cette méthodologie qui pourrait si elle est implémentée sauver les vies face à cette pandémie.

DEVELLOPEMENT 1 

Le COVID19 s’est déclaré en chine le 27 décembre 2019 et assez rapidement a atteint plus de trois milles morts en février 2020.

La chine a utilisé tous les moyens de lutte conventionnelles et à partir du mois de mars a miraculeusement réussit à stabiliser la maladie et guérir plus de quarante milles malades, un chiffre qui croit tous les jours au point où tous les scientifiques du monde s’accordent à dire aujourd’hui que la Chine a vaincu la pandémie.

Le travail et les usines fermés ont réouvert en chine et la province de Hubei dont la capitale est Wuhan , siégé du lancement du COVID19 est totalement opérationnelle.

La chine depuis lors maintien un mutisme total sur la méthodologie mise en place pour éradiquer cette pandémie et laisse les spéculations en la matière se faire par l’union européenne et les USA avec un nombre de morts qui ne cesse de s’accroitre.

Le protocole du professeur Raoult Didier de Marseille sauve des vies aujourd’hui en France et un peu partout dans le monde : mais il est clair que la chloroquine n’est pas une molécule d’actualité et que ses effets secondaires ont conduit plusieurs pays à ne plus en commander pour la lutte contre le paludisme : de ce fait, la chine n’aurait donc pas disposer de plus de trente millions de traitement pour soigner la pandémie dans toute la province de Hubei et de bloquer sa propagation à Hongkong, Taipei , Guangzhou et Taiwan.

Une autre méthode de guérison plus rapide a donc été rapidement mise en place et mes recherches sur le sujet nous remmènent à une étude réalisée en 1966 par D.C WHITE et P.R TEASDALE du departement of Anaesthetics , royal infirmary and University of Aberdeen, Scotland .

Nous devons avant tout définir la corrélation entre cette étude et le SARS , virus du COVID19.


DEVELLOPEMENT 2 

A La haute attention du Ministre de la santé de la République du Cameroun , suite à l’engagement pris sur Tweeter en vue de soumettre pour appréciation une méthodologie de prévention et de lutte contre le COVID 19.

LA DENATURATION DU SARS COV 2, virus du COVID19

Nous ne reviendrons pas sur la littérature développée sur le sujet sur internet ; mais nous rappelons le fait que ce virus provoque une pneumonie aigue qui conduit rapidement à la mort.

Les virus ne peuvent se reproduire que par l'intermédiaire d'une cellule hôte. Pour se faire, le virus doit répliquer son matériel génétique et produire de nouvelles protéines pour former les futures capsides. Pour cela, il faut d'abord faire pénétrer l'acide nucléique dans la cellule, c'est la phase d'adsorption et de pénétration. Les bactériophages utilisent leur "queue" comme une seringue pour injecter leur ADN dans la cellule, la capside reste donc à l'extérieur de la bactérie. Pour les virus à enveloppe ( comme le sars cov-2) , c'est l'interaction entre les glycoprotéines de l'enveloppe et des récepteurs membranaires sur la cellule qui entraîne une fusion des membranes et la pénétration de la capside virale dans le cytoplasme. La capside est alors rapidement dégradée par les enzymes cytoplasmiques et libère l'acide nucléique viral.

Une fois en place, l'acide nucléique viral va déclencher sa réplication et la multiplication des virus qui absorberont tout l’oxygène du corps.

Rendre inefficace un virus revient donc à l’empêcher de se reproduire.

Il s’agit donc d’une desinfection comme celle qui a été pratiquée en chine par les sociétés SOLVAY et Bioquell en tuant tous les virus dans les airs et les surfaces au debut du mois de Mars ( TOP secret).


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La méthode chinoise

Les chinois ont utilisé du peroxyde d’hydrogène pour désinfecter les rues et ensuite, ont confiné des populations et une équipe est passé inoculer aux malades, des injections des solutions de peroxyde d’hydrogène en intraveineuse, ensuite le traitement s’est poursuivi par un antibiotique à large spectre y compris de l’amoxicilline associé à un thé amère qui peut être chez nous la dérivée de n’importe quelle herbe amère.

Il faut rappeler que le COVID19 dans sa phase terminale se manifeste par une broncho- pneumopathie chronique obstructive , nécessitant une assistance respiratoire immédiate : or une étude du professeur pneumologue Stephen Liggets et ses collègues de l’université du Maryland à Baltimore aux USA en 2008, a identifié une famille de récepteurs localisés sur les muscles lisses des bronches et ont étudié leur rôle.

De façon étonnante , ces récepteurs pulmonaires se sont avérés être identiques aux récepteurs du goût amère sur la langue. Les récepteurs TAS2R impliqués dans la reconnaissance de l’amertume qui sont en effet des grosses protéines liées à la membrane de cellules gustatives situées dans les bourgeons de la langue.

Pour confirmer leur découverte, les chercheurs ont cultivé des cellules de muscles lisses de poumons humains et les ont exposées à trois substances amères : la saccharine, la chloroquine et le dénatonium : la grande surprise a été que les trois molécules amères provoquent une dilatation profonde de la tranchée.

Ces résultats ont été testés sur les souris et les hommes par la suite avec des résultats époustouflants et ont donné secrètement aux grands laboratoires des nouvelles perspectives pour le traitement des maladies pulmonaires depuis 2008 contrairement aux licences sur des produits moins efficaces qui continuent à être malheureusement vendus comme l’albuterol et autres.

Les résultats étant parfaits, la chine aurait demandé en mode préventive à tous les chinois du monde entier de consommer secrètement comme un thé froid, des solutions de peroxyde d’hydrogène.

Ce constat part d’une observation : les chinois de partout le monde semblent immunisés contre le COVID19 depuis Mars 2020.

Ils boivent presque tous un thé froid tous les jours ou presque ( enquête menée discrètement auprès des collaborateurs noirs travaillants pour les chinois). Ils ont toujours sur eux du peroxyde d’hydrogène ( témoignages reçu d’un des vendeurs de LED qui en a acheté déjà plusieurs fois pour eux).

Une solution d’hydrochlorate de sodium a été utilisée en chine en février 2020 pour désinfecter les milieux publiques et les marchés sans grands succès à cause de la flottabilité des virus et aussi à cause de l’intoxication au chlore qui provoquait d’autres victimes parmi les agents de désinfection et autres.

« Depuis hier, les autorités procèdent à une désinfection à grande échelle à l’aide d’un mélange d’hypochlorite de sodium (que l’on retrouve dans la javel) », affirme par exemple la légende d’une séquence qui aurait été filmée à Wuhan, dans laquelle des hommes en


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combinaison arpentent une rue en pulvérisant une épaisse fumée blanche à l’aide d’un dispositif à roulette.

Une opération de désinfection à Pékin, le 6 février 2020. (illustration) — Koki Kataoka/AP/SIPA Cette méthode n’a pas été très efficace sur la flottabilité du virus et la chine est passée aux vapeurs de peroxyde d’hydrogène produits par les sociétés Solvay et BIOPQUILL avec un résultat parfait.

Le confinement généralisé pratiqué sur toute la ville de Wuhan , avec les bons résultats obtenus grâce aux vapeurs de peroxyde d’hydrogène aspergé dans toutes les rues ont permis aux autorités de santé chinoise d’utiliser le protocole de DC WHITE sur les humains , afin de soigner leur contagion tout en prévenant les prochaines contaminations.

Il faut noter qu’au canada et aux USA , plusieurs personnes se sont mises secrètement sous traitement au peroxyde d’hydrogène qui jusqu’à présent et ce depuis les travaux réalisés par l’équipe du docteur DC White en 1948 ne sont pas encore approuvés par l’OMS car se sera une grande crise pour les autres médicaments .

De nombreuses familles qui ont des contacts en chine ont été conseillé de prendre du peroxyde d’hydrogéné avec ou sans chloroquine et autre en mesure de prévention.

La présence du peroxyde d’hydrogène à dose légèrement élevé protège le sang des contaminants et désinfecte le corps ( moins de 2ml de la solution de 35% sur un volume de 100ml) ; la combinaison de cette prise avec tout médicament à l’amertume avérée, libère les bronches et facilite l’expectoration du virus qui meurt sous l’effet du peroxyde d’hydrogène qui le dénature.

C’est confirmé et il suffit de faire une recherche sur internet pour découvrir que le peroxyde d’hydrogène est efficace contre tous types de virus.

 

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Le peroxyde d’hydrogène sur le virus sars cov2.

La chine n’a jamais officiellement révélé la composition des produits désinfectants utilisés dans les rues . les scientifiques ont pu grâce aux odeurs et aux précipitations déduire que les premiers produits utilisées étaient un mélange de soude et de chlore ; par la suite , les chinois utilisaient ce qui était décrit comme de l’eau simple pour nettoyer les rues au grand étonnement des populations et de la communauté scientifique.

Les produits pulvérisés par les chinois ne laissaient aucune trace au sol ; mais étaient très efficace contre le virus.

Un désinfectant inodore et incolore capable de telles prouesses n’est que du peroxyde d’hydrogène, autrement appelé de l’eau oxygénée.

Le peroxyde d'hydrogène est de l'eau (H2O), avec une molécule d'oxygène supplémentaire. Ceci donne du H2O2, un oxydant puissant et instable. Cette substance naturelle se trouve en quantités infimes dans la pluie et la neige. La pluie se mélange avec l'ozone dans l'atmosphère supérieure. Lorsque les deux se mélangent, l'ozone (O2) perd une molécule d'oxygène qui se joint à la molécule de l'eau pour ainsi former du peroxyde d'hydrogène. Le peroxyde d'hydrogène est très instable et se décompose rapidement dans de l'eau et une molécule unique d'oxygène. L'oxygène n'est stable que lorsque les molécules forment des paires (O2). Une simple molécule d'oxygène est un fort oxydant et désinfectant.

Le peroxyde d'hydrogène est une substance simple mais efficace. Notre propre système immunitaire produit et utilise le peroxyde d'hydrogène pour contrôler les bactéries et les virus.

C'est la seule substance qui augmente la dissociation d'oxygène et d'hémoglobine, ce qui optimise l'apport en oxygène du sang vers les cellules. Cela crée des conditions qui permettent au corps de se guérir de pratiquement n'importe quelle maladie.


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Le peroxyde d’hydrogène dans le sang : Expérimentations conduites par le DC WHITE en 1948.

Lorsqu’une solution de peroxyde d’hydrogène est ajoutée au sang humain, le peroxyde est décomposé et l’oxygène est relâché dans le sang. Cette réaction a été utilisée pour oxygéner le sang stocké avant la transfusion (Nikitin, 1948).

Le peroxyde d’hydrogène est une source d’oxygène très concentrée ;

1 ml de solution de 30 % (100 vol) contient suffisamment d’oxygène pour saturer plus de 1,5 de sang veineux (en supposant 14,6 g par 100 ml d’hémoglobine et une teneur en oxygène veineuse de 14 ml par 100 ml de sang).

L’évolution de l’oxygène du peroxyde d’hydrogène dans ces circonstances est presque entièrement due à la présence dans le sang de l’enzyme catalase. 2HO2 catalase 2 Le taux de décomposition du peroxyde d’hydrogène par catalase est très rapide ; on dit qu’il s’agit du taux enzymatique le plus élevé connu, 1 molécule de catalase pouvant diviser 42 000 molécules de peroxyde d’hydrogène en 1 seconde à 0 oC (Stanbury, Wyngaarden et Fredericksen, 1960).

Les expériences rapportées ici ont été faites pour examiner la possibilité d’employer cette réaction comme source d’oxygène dans l’oxygénation extracorporel du sang. Les aspects suivants ont été étudiés :

(1) Méthodes d’ajout de peroxyde d’hydrogène au sang.

(2) L’efficacité de l’oxygénation.

(3) Dommages au sang, à l’hémolyse ou à la formation de méthémoglobine. (4) Effets de l’ajout répété de peroxyde d’hydrogène dans le sang.

(5) Stockage du sang oxygéné par le peroxyde d’hydrogène.


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Matériels et méthodes :

Toutes les expériences ont été menées avec du sang de banque (coagulant ACD) dans des bouteilles standard à moins d’être autrement déclarées ; 100 volumes (30 pour cent) de peroxyde d’hydrogène (BDH Micro-analyse) a été utilisé.

La teneur en oxygène et la saturation, ainsi que la teneur en dioxyde de carbone du sang ont été mesurées par la méthode manométrique de Van Slyke (Peters et Van Slyke, 1932). L’hémolyse a été mesurée par la méthode de la benzidine (Crosby et Furth, 1956).

La méthémoglobine a été mesurée par la méthode d’Evelyn et Malloy (1938), et l’hémoglobine par la méthode de cyanméthémoglobine (Varley, 1962).

Le pH a été mesuré par un compteur EIL pH avec électrode capillaire, Pcd par une électrode Severinghaus EIL et Po2 par une électrode Bishop EIL.

Après l’expérience, la meilleure méthode s’est avérée être l’injection rapide de la solution de peroxyde d’hydrogène avec une aiguille fine passée par le bung en caoutchouc de la bouteille de sang qui est maintenue inversée pendant que l’injection est faite. Une seringue tunique Immédiatement après l’injection est faite une masse de microbulles d’oxygène est libéré qui flotte lentement vers le haut à travers le sang. Cette masse de microbulles présente une très grande surface d’oxygène dans le sang. Un mélange satisfaisant est obtenu si la bouteille est inversée après l’injection du peroxyde d’hydrogène, tenue ainsi pendant 30 secondes, puis renversez pendant 30 secondes supplémentaires, et ce processus de rotation toutes les 30 secondes a continué pendant 5 minutes. Après cette procédure d’extraction standard microbulles peuvent encore être vus dans le sang, mais ceux-ci disparaissent si le sang est autorisé à se tenir pendant 5 minutes supplémentaires et de recueillir à la surface dans une couche i-pouce de mousse.

Efficacité de l’oxygénation. Des expériences pour trouver l’efficacité du transfert de l’oxygène du peroxyde d’hydrogène aux globules rouges dans les conditions de mélange


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précédemment décrites ont été faites comme suit. Le volume, la teneur en hémoglobine et la teneur en oxygène du sang à oxygéner ont été mesurés. De ces chiffres, et en supposant que 1 g d’hémoglobine se combine avec 1,3 ml d’oxygène lorsqu’il est entièrement saturé, il était possible de calculer le volume d’oxygène théoriquement nécessaire pour saturer l’hémoglobine dans la bouteille mesurée. À ce volume a été ajouté un autre petit volume pour tenir compte de la quantité d’oxygène dissous dans le plasma. Il a été constaté que, dans nos conditions expérimentales (température ambiante et Po» après l’ajout de peroxyde d’hydrogène d’environ 700 rnm Hg.

La teneur en oxygène du plasma ACD était de 2,7 vol par 100 ml . La quantité de solution de peroxyde d’hydrogène nécessaire pour faire évoluer ce volume total d’oxygène est la « quantité théorique » de solution de peroxyde d’hydrogène. C’est la quantité de solution de peroxyde d’hydrogène dont l’ajout à un volume de sang se traduira par une saturation de 100 pour cent si le transfert de l’oxygène du peroxyde à l’hémoglobine est 100 pour cent efficace. Ces pourcentages sont tracés par rapport à la saturation mesurée en oxygène qui a résulté après que la procédure de mélange standard ait été suivie. On a constaté que pour les saturations inférieures à 100 p. 100, le transfert d’oxygène était efficace à 99 p. 100. Toutefois, à des saturations approchant les 100 p. 100, l’efficacité diminue et on peut voir, à partir du premier chiffre, que 130 p. 100 de la quantité théorique de solution au peroxyde d’hydrogène semble être la quantité requise pour donner une saturation de 100 p. 100. Des expériences ultérieures ont montré que ce montant produisait 98 pour cent de saturation et assurer une saturation totale de 150 pour cent de la quantité théorique d’hydrogène utilisée pour l’injection car cela permet de mesurer la dose de solution de peroxyde d’hydrogène avec une précision suffisante.


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Destruction du sang et danger d’utilisation du peroxyde d’hydrogene;

Le peroxyde d’hydrogène est un puissant agent oxydant et lorsque de grandes quantités sont ajoutées au sang, la méthémoglobine sanguine est formée. Des tests ont donc été effectués pour découvrir si la méthémoglobine pouvait être détectée dans le sang après que la procédure standard pour l’oxygénation aie été suivie.

La méthode utilisée détecterait la méthémoglobine si elle est présente dans des concentrations de 150 mg par 100 ml ou plus. Aucune méthémoglobine n’a été détectée.

Des expériences ont ensuite été effectuées pour déterminer la quantité de peroxyde d’hydrogène nécessaire avant que la méthémoglobine puisse être détectée. Il a été constaté qu’après 1 ml de peroxyde d’hydrogène ait été ajouté à 10 ml de sang stocké, 165 mg par 100 ml de méthémoglobine était présent. Ce chiffre est passé à 550 mg par 100 ml lorsque 2 ml de peroxyde d’hydrogène ont été ajoutés. Les niveaux de méthémoglobine sanguine allant jusqu’à 130 mg par 100 ml sont considérés comme étant dans les limites normales (Hawk, 1954). Les dommages aux globules rouges, produisant l’hémolyse, pourraient résulter de l’action chimique du peroxyde d’hydrogène, du traumatisme mécanique du processus d’oxygénation ou de l’ajout d’eau au sang. Dans huit bouteilles de sang de datte, le niveau d’hémoglobine plasmatique a été mesuré avant et après l’oxygénation par le Stockage du sang oxygéné. Après 48 heures d’entreposage dans un réfrigérateur à 4 oC, la saturation en oxygène de trois bouteilles de sang oxygénée par la procédure standard s’est avérée avoir diminué d’une moyenne de 4,6 pour cent. Quatre bouteilles de sang fraîchement prélevé avec un anticoagulant ACD ont été divisées en deux parties égales, une partie de chacune étant oxygénée par le peroxyde d’hydrogène. Des estimations de pH, de Pco3 et de potassium plasma ont été exécutées après 1, 10 et 21 jours d’entreposage dans un réfrigérateur à 4 oC. Aucune différence significative entre les échantillons oxygénés et non oxygénés n’a été trouvée excepté la différence dans PCOJ qui a été décrite.


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Avant l’oxygénation, le taux moyen d’hémoglobine plasmatique était de 13,9 mg par 100 ml (gamme 4.8-25.8); après oxygénation l’hémoglobine plasmatique moyenne avait augmenté de 11,0 mg par 100 ml (gamme d’augmentation 4.5-28.0).

Réoxygénation continente par peroxyde d’hydrogène.

En considérant l’utilisation du peroxyde d’hydrogène dans un système d’écoulement continu, comme un oxygénateur de pompe, plusieurs points se posent. Il s’agit notamment, comme nous l’avons déjà mentionné, de l’élimination du dioxyde de carbone et de l’accumulation d’eau dans le sang. Des mesures de la tension et de la teneur en dioxyde de carbone ont été effectuées avant et après l’oxygénation des bouteilles de sang par la procédure standard. Le contenu est resté inchangé, mais la tension a été constatée pour augmenter d’environ 20 mm Hg. l’ajout de 1 g de peroxyde d’hydrogène au sang laisse derrière lui dans le sang 0,53 g d’eau. Après 1 ml de solution de peroxyde d’hydrogène de 30 pour cent, il restera 0,85 ml d’eau. Une expérience a été menée pour mesurer l’effet d’une augmentation des quantités d’eau dans le sang; les effets mécaniques du processus de mélange seuls ont été évalués en même temps. Une bouteille de sang, vieille de 22 jours, a été divisée en deux parties, chacune de 250 ml. À une partie de l’eau a été ajoutée en quantités croissantes et la procédure de mélange standard a suivi après l’ajout de chaque dose. L’hémoglobine plasmatique a été mesurée après que chaque dose d’eau ait été mélangée.

L’oxygénation utilisant le peroxyde d’hydrogène est l’élimination du dioxyde de carbone. Comme cela a été montré, lorsque le sang est oxygéné par l’ajout de peroxyde d’hydrogène de la manière décrite, la teneur en dioxyde de carbone du sang est inchangée car il n’y a pas d’excès d’oxygène bouillonnant à travers pour transporter le dioxyde de carbone loin.


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L’augmentation de la tension est due au dioxyde de carbone expulsé des globules rouges lorsqu’ils deviennent entièrement saturés d’oxygène (l’effet Haldane). Catalase. Cette enzyme est présente dans le sang humain dans le plasma et les globules rouges, le niveau normal chez les hommes étant 12.29-27.17 unités pour le sang entier et 9.74-18.06 pour le plasma (Diem, 1962). L’enzyme présente dans le plasma est responsable de la dégradation du peroxyde d’hydrogène ajouté au sang entier. Cependant, si les globules rouges sont lavés jusqu’à ce que le salin de lavage ne réagisse pas avec le peroxyde d’hydrogène et ensuite suspendu dans la solution saline normale, l’ajout de peroxyde d’hydrogène entraîne l’évolution de l’oxygène et l’oxygénation a lieu. Peut-être que l’enzyme adhère à la membrane des globules rouges. La quantité de catalase dans le sang varie considérablement chez différentes espèces, étant élevée chez l’homme (100 pour cent), faible dans le rat (25 pour cent), très faible chez le chien (11 pour cent), et presque absent dans la poule (0,7 pour cent) (Lorincz, Jacoby et Livingstone, 1948). Lorsque des solutions de peroxyde d’hydrogène sont ajoutées au sang de ces derniers animaux, l’oxygénation ne se produit pas; au lieu de cela le sang devient brun foncé en raison de la formation de méthémoglobine. Une condition d’acatalasia congénitale a été décrite dans l’humain ; il est très rare et n’a été trouvé qu’au Japon (Stanbury, Wyngaarden et Fredericksen, 1960).

Depuis l’écriture de cet article, les auteurs constatent qu’un oxygénateur à débit continu utilisant du peroxyde d’hydrogène a été construit et testé expérimentalement avec du sang humain stocké (Abeatici, Laugeri et de Nunno, 1959). Dans ce dispositif, un aérosol de peroxyde d’hydrogène à 30 pour cent est soufflé au fond d’une hélice de tubes en plastique vers le bas où le sang est autorisé à couler. Le bouillonnement est évité et le dioxyde de carbone est éliminé.


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Ces essais ont été revendiqués en 1948 par DC white et plusieurs vaccins ont depuis lors été conçus sur la base des travaux de ces deux docteurs notamment dans le traitement de la tuberculose et autres maladies virales.


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L’injection d’une soltion de peroxyde d’hydrogene dans le sang :

Il existe plusieurs façons de recevoir la thérapie par peroxyde d’hydrogène. Certaines personnes boivent directement une forme diluée de celui-ci, tandis que d’autres pourraient recommander de l’insérer par voix rectale , vaginalement, ou par le nez ou les oreilles [source: American Cancer Society].

Bien que ce sont toutes des possibilités, la méthode la plus courante de recevoir du peroxyde d’hydrogène est par injection intraveineuse.

La thérapie par peroxyde d’hydrogène intraveineuse a été apportée en masse dans le domaine médical à la première Conférence internationale de médecine bio-oxydative en 1989 [source : Farr et Josephs]. Depuis lors, beaucoup de gens se tiennent derrière la puissance supposée des peroxydes d’hydrogène . Les traitements durent généralement une heure et demie. Ils peuvent varier en fréquence, car certaines personnes peuvent demander un seul traitement et d’autres pourraient vouloir une perfusion cinq jours par semaine [source: Kennedy].pendant deux semaines maximum.

Indépendamment de la fréquence de traitement, les injections intraveineuses de peroxyde d’hydrogène peuvent avoir plusieurs dangers et des effets secondaires graves, le plus grave étant la mort ( en cas de surdosage). En Caroline du Sud, un médecin de médecine alternative a administré du peroxyde d’hydrogène à un patient qui est ensuite mort dans les cinq jours suivant cette injection [source : Liptak].

D’autres effets secondaires de la thérapie IV sont l’inflammation veineuse, les stries rouges de haut en bas du bras, l’essoufflement, les frissons, les nausées et les douleurs générales [source : Farr et Josephs]. Malgré ces effets secondaires connus, certaines personnes prétendent qu’il y a très peu de dangers lorsqu’il est administré la thérapie IV par un professionnel [source: IV Therapy].

Ainsi, cette pratique courante en chine est le grand secret caché au reste du monde.


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De nombreux chinois à l’étranger s’injecte des doses de peroxyde d’hydrogène, ou la boivent comme mesure de prévention au virus.

La prise même une fois par semaine du peroxyde d’hydrogène oxide les virus et autres bactéries et rend notre corps hostile à leur développement.

Il s’agit ici d’une réalité scientifique que nous devons prendre très au sérieux pour notre indépendance du système de la santé et le respect de la vie.

Méthodologie de lutte proposée :

1) Arroser toutes les rues avec les solutions de peroxyde d’hydrogène dosées à 35%.

2) Injectez tous les malades positifs d’une dose contrôlée de peroxyde d’hydrogène en

intra vineuse selon le protocole du docteur White de 1948, repris en 1959 par le corps medical aux USA avant d’être abandonné : il s’agit de l’injection de 1ml d’une solution de 30% de peroxyde d’hydrogène dans le sang pour créer une oxydation par cet atome libre d’oxygène insaturé qui désintègrera les virus par oxydation, cette dénaturation brusque empêcherait le virus de se multiplier tout en détruisant ses protéines et permettre au corps d’acquérir un maximum d’oxygène pour mieux se défendre .

Associer cette cure à tout médicament à l’amertume avérée tel que la saccharine , la chloroquine ou le detonium , ou encore toute concoction de la pharmacopée traditionnelle amère.

3) Autoriser la prise du peroxyde d’hydrogène en breuvage préventif comme les chinois le font auprès de nous en secret.

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